Étude / Enquête autour du cuivre

Étude / enquête menée sur les 4 dernières années :

Petit rappel sur les bienfaits du cuivre :

  • Le cuivre est bactéricide et diminue de 30 % la transmission de maladie nosocomiale. En effet, plus les surfaces en cuivre sont présentes et plus vous serez en contact avec le métal qui aura donc l’occasion de détruire les bactéries, en majorité, véhiculées par les mains. De nombreuses études françaises et anglaises sont disponibles sur Internet.

Sources : « Centre d’information du cuivre et ses alliages – Copper Alliance » ; « Hospitalia »

  • Le cuivre stoppe le processus inflammatoire, et augmente la quantité d’antioxydants dans le corps. De plus, il favorise la réparation du cartilage. Certains médicaments à base de cuivre sont indiqués dans le traitement de l’arthrose. Le cuivre est un oligo-élément polyvalent, actif dans les états infectieux et inflammatoires. Il stimule puissamment les défenses naturelles des personnes immunodéprimées, les aidants à combattre microbes et virus. Sa propriété antibactérienne est précieuse en cas d’épidémie de grippe, par exemple. Cette action est renforcée par sa capacité à stimuler l’assimilation de la vitamine C. Dans les cas aigus il est pertinent d’associer le cuivre avec l’argent qui a lui-même une puissante action antibactérienne, la synergie entre le cuivre et l’argent permettant de renforcer mutuellement leur action.

Sources : « Doctossimo » ; « passeport santé »

En résumé :

Pour soulager les douleurs articulaires, l’oligothérapie mais aussi le fait de porter du cuivre, sont des moyens pour lutter contre l’arthrose qui est une maladie dégénérative s’attaquant au cartilage situé au niveau des articulations.

La vente de bracelets en cuivre, sur ces dernières années, m’a donc confirmé que le port d’un bracelet soulageait 3 de mes clients sur 5 ! Seul inconvénient de ce métal, le noircissement possible du poignet chez les personnes où la sudation est importante ou acide.

A la demande de ma clientèle et pour des raisons thérapeutiques, je me suis donc orienté vers la fabrication de bagues (notamment pour les douleurs articulaires sur les phalanges).

7 clients sur 10 sont soulagés.

 

Conclusion :

La quantité de métal porté n’est donc pas un facteur (différence entre le bracelet et la bague).

La bague apporterait davantage de bienfaits sans les inconvénients (moins ou pas de noircissement de la peau).

La bague est portée jour et nuit, ce qui n’est pas le cas d’un bracelet !?

Les chocs sont conseillés, sur le métal, pour engendrer des bienfaits : posséder d’autres bagues sur les doigts proches (même de nature différentes), faire la vaisselle ou des activités permettant d’engendrer de nombreux contacts au métal.

Chez les personnes les plus réceptives (douleur atténuée voir disparue, fin des « crises » d’arthrose …..), les bagues sont activent et brillantes.

Chez les personnes peu ou pas réceptives, les bagues deviennent plus mates, terne ou légèrement brunes !

Il existerait donc un rapport et une échelle entre l’éclat de ces dernières et l’effet thérapeutique.